Tetsuo Lharn se baladait dans le quartier le plus mal famé de toute la cité. Situé non loin du port, ce lieu était l'endroit rêvé de tout malfrat ou voleur de toute sorte. Les rues étaient sombres et peu fréquentées. Tetsuo marchait sous la pluie battante et regardait le peu d'agitaion. Un gosse qui courait, deux vieillards qui parlaient autour d'une bouteille de grog, un homme allongé sous un portique...
Tetsuo était venu pour une raison bien précise. Un de ses indics lui avait dit qu'il connaissait quelqu'un de la résistance, qui pouvait savoir certaines choses. Il approchait de la fumerie quand un pickpocket voulu lui prendre son portefeuille. Tetsuo lui brisa la main sans le moindre regard.
Le lieutenant ouvrit la porte de la fumerie et avisa une table déserte. Il s'y assit et demanda de l'eau de vie. Un peu après, un homme arriva. Il avait les cheuveux bruns, de petits yeux bleus qu'il cachait derriere des lunettes. Il portait un vieux manteau trempé par la pluie, et un blouson marron. L'homme s'approcha du lieutenant et lui demanda :
"Puis-je vous parler en privé, M. Lharn?
-Bien sur, lui répondit Tetsuo. Suivez moi."
Il se leva et emmena son compagnon dans une petite salle insonorisée a l'écart. Tetsuo se rassit et sortit une cigarette, qu'il alluma. Il tira un fauteuil pour le mnsieur qui l'accompagnait, et lui dit:
"Alors, monsieur, monsieur...
-Ca n'a pas d'importance.
-D'accord, monsieur Smith. Commencez je vous prit.
-Très bien, voyez vous..."
L'homme commença a dire plein de choses, qui n'interessait pas trop Tetsuo, comme les chose que préparaient les opposants, où des choses passées. Tetsuo le pria de lui donner des noms, mais l'homme continuait de raconter des faits pasés. Cependant, ce dernier était étrangement crispé. Il regardait un peu partout, jetais des coups d'oeil furtifs, et semblait tenir quelque chose dans son manteau. Il continua a parler jusqu'a ce que Tetsuo lui demande:
"Monsieur. Tout ce que vous me racontez , je le sais déja, ce sont des evènements passés. mais je crois savoir pourquoi vous êtes ici. Vous avez fait tout ce chemin pour me tuer, n'est-ce pas?"
A ces mots, l'homme tira sa main de sa veste. Il tenait un couteau. Il se jeta sur le ieutenant. Mais celui-ci fut plus rapide. Il sortit son pistolet, et tira sur son agresseur, le tuant net.
Puis il traça un cercle d'alichimie sur le sol, et transforma le cadavre en pierre, de la forme d'une statue. Il releva le corps maintenant pétrifié, et le posa sur un socle de pierre. Ensuite il sortit de la pièce, et passa dans la fumerie, pour arriver sur le seuil de la porte. Il releva sa capuche, et partit sous la pluie battante.